1 juin 2013
quand le soleil se montre, les rencontres se réveillent
Avec sa nouvelle voiture, il avait belle allure. Il apparut derrière le volant, comme un pilote rugissant. Ses cheveux bougeaient au rythme du vent, comme les feuilles des arbres verdoyants. Il nme sourit, et je lui renvoyais l'ascenseur. Quelques instants plus tard, nous étions autour d'une table, à raconter nos vies. Lui m'écoutait, affable. Était-ce le printemps qui l'avait rendu si patient ? Après ce bel instant partagé, il reparti, avec son allant, et me laissa, tel un oiseau au bord du nid. Il m'avait dit: "choisis". Il attendait un oui, mais mon nez plongé dans mon café lui répondit "non".
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